Sacha et Samaël. Ils n'ont jamais réellement eu de conversations. Mais ils ont tellement de points en communs. Ils viennent tous les deux de la France, ils aiment lire, écrire. Ils se sentent bien, essayent de trouver le bonheur dans leur mort. Et en même temps, tout les différencie. L'un est né dans une époque lointaine, l'une vient des temps modernes. Le premier est renfermé de nature, la deuxième a toujours croqué la vie à pleine dent. Il veut devenir un autre homme, elle n'espère qu'à garder son entrain et sa joie d'entant. Tout ça les rapproche ? Les éloigne ? Personne ne sait vraiment. Certains sont persuadés qu'ils sont fait l'un pour l'autre, d'autres pensent qu'ils risquent bien fort de courir vers le tantale. Et eux dans tout ça ? Ils ne savent pas. Ils n'ont pas envie de le savoir. Un regard, un sourire. Assis sur son rocher préféré, Samaël essaye vainement de trouver des mots, des glissements de plume sur ses feuilles vierges. Sacha, elle, l'observe. Elle aimerait bien aller lui parler. Lui demander si il était un écrivain célèbre. Son regard doux mais sûr de lui, ses yeux rêveurs, ses habits moyenne-âgueux, tout ce qui fait qu'il est lui la fascine. Elle n'ose pourtant l'aborder. Juste quelques mots par-ci par-là; demander son chemin, le bousculer doucement. Mais ça s'arrête là. Lui, il la sent. Il voit dans son regard un avenir à jamais perdu. Il est persuadé qu'elle aurait été parfaite à la cour. Il sait qu'elle est la muse qui lui manque. Mais il ne fait rien. Il n'a jamais aimé le contact physique, n'a jamais adressé réellement de paroles à des jeunes femmes. Alors il se contente d'apprécier son regard posé sur lui. Il attend. Il ne sait pas quoi, mais il attend.

Samaël n'a jamais vraiment pris le temps d'apprendre à connaître cette brune au caractère de feu. Tout ce qu'il sait, c'est qu'elle l'intéresse. Grâce à elle, il sent que le syndrome de la page blanche tend à disparaître. Et il est en manque. Terriblement en manque de plume courant sur un parchemin. Il en a besoin, c'est vital. Et il est persuadé qu'en la jeune femme il trouvera sa muse parfaite. Alors il l'a suit, la harcèle, jour et nuit, nuit et jour. Et ça l'énerve. Pas qu'un peu. Nymphéa lui en fait voir de toutes les couleurs, et ça lui est égal, tant qu'il peut l'observer. Encore et toujours. Nouveau personnage, nouveau modèle.

His cognitis Gallus ut serpens adpetitus telo vel saxo iamque spes extremas opperiens et succurrens saluti suae quavis ratione colligi omnes iussit armatos et cum starent attoniti, districta dentium acie stridens adeste inquit viri fortes mihi periclitanti vobiscum.

His cognitis Gallus ut serpens adpetitus telo vel saxo iamque spes extremas opperiens et succurrens saluti suae quavis ratione colligi omnes iussit armatos et cum starent attoniti, districta dentium acie stridens adeste inquit viri fortes mihi periclitanti vobiscum.

His cognitis Gallus ut serpens adpetitus telo vel saxo iamque spes extremas opperiens et succurrens saluti suae quavis ratione colligi omnes iussit armatos et cum starent attoniti, districta dentium acie stridens adeste inquit viri fortes mihi periclitanti vobiscum.

His cognitis Gallus ut serpens adpetitus telo vel saxo iamque spes extremas opperiens et succurrens saluti suae quavis ratione colligi omnes iussit armatos et cum starent attoniti, districta dentium acie stridens adeste inquit viri fortes mihi periclitanti vobiscum.

His cognitis Gallus ut serpens adpetitus telo vel saxo iamque spes extremas opperiens et succurrens saluti suae quavis ratione colligi omnes iussit armatos et cum starent attoniti, districta dentium acie stridens adeste inquit viri fortes mihi periclitanti vobiscum.

His cognitis Gallus ut serpens adpetitus telo vel saxo iamque spes extremas opperiens et succurrens saluti suae quavis ratione colligi omnes iussit armatos et cum starent attoniti, districta dentium acie stridens adeste inquit viri fortes mihi periclitanti vobiscum.