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Tempérance Murdorn Messages : 24 Date de mort : 13/05/2014
| Sujet: ♠ I'm a trap baby.. ♠ Mar 13 Mai - 5:10 | |
| Tempérance Murdorn ♠ Femme, mais fatale avant tout. ♠
Quelques informations NOM : Murdorn ✝ PRENOM(s) : Tempérance ✝ ÂGE : 23 Ans ✝ DATE DE MORT : 2 juin 1210 ✝ ORIGINE : Française ✝ ORIENTATION : Pansexuelle ✝ GROUPE : Blue Lagoon ✝ AVATAR : Lady gaga
Causes de ma mort La mort ? Oh mais chéri, tu vas rire. La mort c’est toute ma vie. Paradoxal Certes.. Tu sais.. Le bien, le mal.. La vie la mort.. Tout ça c’est des concepts inventé par des cons pour plaire à des abrutis et les nourrir de conneries.. La mort je la côtoyais tous les jours tu sais. Je la voyais. Je la créé. Je la vivais. Je lui donner un sens. Je lui donner vie. J’aimais ça.
Chercher. Traquer. Y prendre gout. Epuiser. Mettre à mal. Trouver. Détruire. S’amuser. Faire pleurer. Faire du mal. Rire. Faire souffrir. Déchirer des familles. Torturer. Obtenir des aveux. Même faux. S’acharner. Prendre plaisir. S’en foutre. Sourire. Condamner. Enfermer. Transporter. Mettre à mort. En public évidement. Humilier. Tuer. Pendaison. Ecartèlement. Ecorchage. Immoler. Lapider. Noyer. A vous de décider.
Ma mort à moi ça a été un peu ça, dans le fond. J’ai trouvé ça.. Drôlement amusant.. C’était palpitant.. Un peu comme la première mise à mort que j’avais pu voir. Ou comme quand j’ai tué mon père.. Après la disparition de papa, les hautes instances se sont mise à bouger.. J’étais en sécurité auprès du Pape. J’étais son bras droit direct en France du point de vue de l’inquisition. Grande inquisitrice. Il disait lui-même que ma beauté était terriblement mortelle. Seulement plusieurs mois après que j’ai tué mon père, il y a eu du grabuge au milieux des hauts placés.. Certains avaient compris. Alors plutôt que de les faire taire, j’ai fuis. Mais vous savez, quand vous avez mon post, personne ne vous aide.. Oh non, loin de là. Alors j’ai fuis, je voulais fuir l’Europe seulement voilà, j’étais redoutée partout sur le continent. Les gens avaient peur et me redoutaient. Je passais de gargotes mal famées en auberges délabrées. C’était plutôt chouette. Je voyais l’envers du décor t cette fuite ca m’excitais. Le mieux c’était de savoir que j’avais des troupes à mes suites.
Evidement je payais le silence de tous ceux qui voyaient mon visage et ceux qui refusaient sous prétexte que j’avais tué leur femme ou enfant, parfois leur famille, finissaient par avoir le même destin tragique.. Funeste. Une nuit l’aubergiste est venu me réveiller, enfin il avait envoyé son fils. J’ai confié au petit une croix en or surmontée de rubis pour son aide. Paix à son âme, il doit être mort à l’heure qu’il est s’ils ont découvert qu’il m’avait prêté main forte. Dommage. C’était qu’un gosse après tout. Il n’avait donc aucune espèce d’importance.
Cette nuit là, j’ai endossé ma capeline noire brodée de pierres et j’ai pris l’étalon le plus rapide de l’écurie. Réputé indomptable. Il ne l’était pas. Avec moi. Dès que je suis entrée dans le box, il s’est calmé et à compris. On devait partir lui et moi. J’ai toujours eu ce don avec les animaux. Ils m’obéissent, comme si sans leur parler ils me comprenaient. Au final, j’ai fini par laisser ma monture courir seule et rentrer à l’auberge. J’ai de la compassion pour les animaux. Moins pour les humains. J’ai tué cinq des huit hommes qui me chassaient. Un carreau en pleine gorge. J’étais douée à ce jeux là.. Mais à cours de munitions. J’étais au bord d’une falaise. Les trois chasseurs face à moi. J’ai sorti un flacon de cyanure. Je le leur ai montré avec un sourire des plus sadiques. L’un d’eux a tendu la main vers moi en hurlant. Je l’ai bu. Lâchée. Et je me suis laissé tomber en arrière. Trente mètres plus bas m’attendait une eau glacée. Fin de l’histoire..
Ou plutôt.. Commencement d’une nouvelle.
Déjà en entrant j’ai entendu grogner derrière moi. Je n’aime pas ça. Le cerbère me trouvait surement trop lente à avancer. Je me suis retournée. Il s’est couché. Une tête était joyeuse, sa voisine apeurée et la troisième semblait vouloir une caresse. J’ai souris, et j’ai continué tout droit. Je retourne régulièrement voir mon nouvel animal, ça me change de mon corbeau de temps en temps. Arrivée au bord de l’eau, une barque m’attendait. Un homme vêtis de haillon m’y attendais. J’ai tendu la main. Je n’allais quand même pas monter toute seule. Le silence pesant lui a fais tendre la main, il m’a aidé. Je me suis installé et la traversée à commencé. Assise dans le fond de la barque, je regardais autour de moi. Une fois la traversée finie, il m’a aidé à descendre et je lui ai donnée une bourse d’or. Je l’ai remercié froidement et il a courbé l’échine avant de repartir dans son silence mortuaire.
Et plus à propos
| Je pleures, tout les soir. Oui c’est difficile à croire je sais. Toutes les nuits.. Tout les soirs et toues les nuits, je pleures. Les larmes brulent mes yeux et rougissent ma peau. Mon maquillage coule rapidement sur ma peau froide et je suis là. Seule. C’est bien là qu’est le problème en réalité. Tout le monde pense que j’ai en horreur les sentiments humains t tout ce qui tourne autour mais Tous le monde se met le doigt dans l’oeil jusqu’au coude. Ce n’est pas cela du tout. J’ai juste peur. Parce que je ne comprends pas. J’aimerai savoir.. Je veux savoir. Pourquoi? Pourquoi est-ce que moi je ne comprends pas ce qui se passe dans a tête de tous ceux qui m’entourent? Je veux juste ne plus être seule.. Arrêter de me battre vainement contre mon pire ennemi.. Moi.
Si je suis si horrible aux yeux des gens c’est pour ça.. Croyez moi, au fond je suis pas méchante.. J’extériorise juste une souffrance profonde et interminable. En fait, si je torture et tue tous ses gens c’est simplement par jalousie. Oui, par jalousie, vous avez bien entendu.. Je les envie. Je veux être à leur place. Depuis toujours je le voudrais mais personne n’est là pour moi. Personne n’a jamais été là, personne n’est là et personne ne sera jamais là.. C’est ce que je me dis. Oui, c’est ça, je suis condamnée. Condamnée. Condamnée à vivre seule. Condamné à errer ici. Seule. Condamné à une existence éternellement vide de sens. Eternelle.. Ca me glace le sang de penser à tout cela. Je me disais que j’allais mourir seule comme j’avais toujours vécu mais maintenant, maintenant.. Tout avait changé.. J’étais morte.. Et j’allais être perpétuellement torturée par le fait de ne plus jamais pouvoir m’échapper de ma solitude..
J’aimerai être bonne Gentille. Mais ma nature me pousse à ne pas l’être. Je veux que quelqu’un s’occupe de moi.. Je voudrais juste qu’on me montre l’exemple, avoir quelqu’un à qui parler, quelqu’un sur qui compter.. Un ami. |
Et moi dans tout ça PRENOM : Denis ✝ PSEUDO : Sokka ✝ ÂGE : 19 Ans ✝ SCENARIO OU INVENTE : inventé ✝ COMMENT AS TU TROUVE LE FORUM : Tempérance est un DC (cf E. Balthazar Avigdor) ✝ UN PETIT MOT : Mot
Dernière édition par Tempérance Murdorn le Ven 23 Mai - 11:59, édité 9 fois |
| | | Tempérance Murdorn Messages : 24 Date de mort : 13/05/2014
| Sujet: Re: ♠ I'm a trap baby.. ♠ Mar 13 Mai - 5:11 | |
| ♠ gonna eat you honey.. ♠
Commençons par le commencement: mes parents: Ma mère d’abord, ça sera bref. Morte en couche. Enfin de se que j’en savais. Vous verrez la suite plus tard.. Mon père.. Un grand inquisiteur pas saint d’esprit, loin de là. Enfin vous allez comprendre quand je vais vous raconter. En réalité.. Je ne pourrais pas vous raconter grand chose avant mes quatre ou cinq ans parce que je n’ai de passé à cette époque aux yeux de personne. Même pas aux miens.
Les premiers souvenirs que j’ai ce sont ceux de ma boîte. Oui, de ma boîte.. J’ai vécu dedans de mes 4 à mes dix ans. C’était comme un cercueil de bois. En fait non.. C’étais un cercueil de bois. Tout ce qu’il y avait de plus simple, pas de matelasse ou autre. Il avait la taille approximative d’une petite fille de 10 ans. Vous allez vite comprendre pourquoi. Il était debout. Je dormais debout. Oui. Je mangeais par une petite trappe à niveau de mon visage. Oui. Je ne sortais que trois heures par jours. Chronométrées. Pour subir un entrainement.. Au programme? Musculation. Tests psychotechniques. Tests de motricité. Examens médicolégaux. Tir à l’arc. Arbalète. Poignard. Hache et autres armes. Survie. Nage etc Je me préparais sans le savoir à une véritable guerre. Il y avait deux autre boites, je me demandais à quoi elles pouvaient servir.. Etais-je seul? Y avait-il d’autres petites filles comme moi ici? Je ne l’ai pas su avant mes dix ans..
Le jour de mes dix ans la boite a bougée.. Elle se déplaçais et je me cognais aux parois. Puis elle s’est immobilisée.. Mon cercueil c’est ouvert. Je n’y voyais rien. Mes yeux me brulaient. C’était la première fois que je voyais la lumière. Je veux dire, la vraie, celle du soleil.. Il y avait deux autres petites filles en face de moi. Elles étaient en tout points identique à moi. Des triplettes. J’avais donc deux soeurs. J’étais un peu décontenancée. Que se passait-il?
Nous étions toutes les trois là, ne sachant pas pourquoi.. Je regardais mes mains en jouant nerveusement avec mes doigts.. C’est là que papa à parlé.. « Bonjour les filles, on va faire un jeu. » C’était la première fois que papa proposait un jeu. D’habitude il me tapais pour que je soit meilleure.. J’étais nerveuse. Mes soeurs se regardaient en souriant mais je restais exclu de leur sympathie. Papa n’avait pas encore donné les consignes.. « Celle qui veut être ma princesse devra éliminer les deux autres. Vous avez bien compris les filles? » Nous avons toutes les trois hoché la tête et papa nous avez donné pour la première fois des vêtements. J’avais donc une sorte de body que les femmes de mon époque portait en sous-vêtement. Avec ça on avait eu des mitaines. « Vous trouverez des armes dans le jardins les filles et de quoi vous nourrir et vous couvrir. Vous n’avez pas le droit d’en sortir en revanche. Interdiction formelle de la faire sinon je vous punis. » Il ne fallait pas être punis. Il fallait faire plaisir à papa. « Quand je dirait partez, le jeu commencera. Vous êtes prêtes? Partez! »
Je vois encore mes deux soeurs se prendre par la main et partir toutes les deux d’un côté alors que je ne bouge pas. Je regarde mon père. « Je serai ta princesse papa. Tu seras fier de moi. » Et puis j’ai couru tout droit, en direction inverse de mes soeurs. La propriété était immense. J’ai couru comme ça pendant près d’une heure sans m’arrêter. Je voulais mettre de la distance entre elles et moi. Elles étaient deux. Moi. Seule. Je me rends compte aujourd’hui que l’on avait été formatée pour tuer. Ce qui m’a fait arrêter au bout d’une heure, c’est un petit sac de toile que j’ai trouvé par terre. En l’attrapant, j’ai entendu un léger bruit et j’ai senti quelque chose qui le retenais. Un piège. J’ai tiré sur le sac en me jetant dessus pour éviter la flèche qui m’a frôlée la nuque. Ensuite je me suis relevée et je suis allé de cacher auprès des racines d’un gros arbres. J’ai ouvert le sac. Une couverture et une arbalète avec cinq carreaux ainsi qu’un petit pain. Dieu merci.
J’ai ensuite marché longtemps sans trop savoir où j’allais. Je me suis rendu compte que je tournais en rond et que j’étais suivie. J’ai donc effacé mes traces et j’ai fini par trouver un abris. Une petite maison en ruine, enfin pas vraiment entièrement en ruine mais très délabrée, abandonnée. J’ai décidé de m’installer dedans. J’ai trouvé des bougie et de quoi les allumer. J’en ai allumé une à la tombée de la nuit, j’ai mangé mon petit pain et j’ai vite éteint la bougie pour ne pas être repérée. Au cas où. J’ai chargé l’arbalète et je me suis enroulée dans la couverture. Les nuits sont rudes.
Le lendemain j’ai décidé de sécuriser la zone, mais je n’avais rien pour le faire. La terre battue qui couvrait le sol de la maison emmagasinait la chaleur le jour et la restituait la nuit. Je ne voulais pas transporter mon matériel toute la journée alors je pris l’arbalète et les carreaux. J’enterrai soigneusement et sans trace la couverture préalablement mise dans le sac de toile. Je me mis dans le chambranle de la porte et je passais juste la bout de mon nez recouvert de terre pour e fondre dans la masse. Personne. Je sorti. J’entendais de l’eau. Je n’avais pas pensé à ma condition physique jusque là.. Mais le fait d’entendre cet écoulement me donna soif. Je me tapis au sol et me déplaçais à croupie.
Arrivée aux abords de la rivière, j’étais à découvert mais il fallait que j’y ailles. Un petit paquet était posé au sol. J’allais me jeter dessus quand je me souvins du piège précédent. Une branche. Il me fallait une branche. Je regardais autour de moi. Rien. Tant pis, je devais m’y risquer. Je touche le paquet. Rien ne se passe. Je tire dessus et me jette au sol, mais cette fois-ci, rien. Je suis vite retournée à la masure. J’y ai ouvert le sac. Il y avait deux hachettes dedans et de quoi manger. Trois pommes, et un petit pain. Il allait falloir se rationner. Ce soir là, je ne mangeais pas, on ne peut pas toujours manger à sa fan, papa me l’avais appris. Il nous l’avait sûrement appris à toute les trois. Je me suis couchée tôt, j’avais un mauvais pressentiment. J’avais beaucoup bu ce soir pour me réveiller avant le levé du soleil. Ce soir était ma dernière nuit dans ses ruines. C’était sûr et certain, je n’étais pas à l’abri si je restait trop longtemps ici. Et cette petite maison n’avais qu’une seule issue et qu’un seule ouverture. La porte.
La nuit avait été courte, mais à mon réveil, il y avait déjà un problème.. Des voix.. Il y avait deux voix dehors. Identiques à la mienne. Morte. J’étais morte. Par avance. Il me fallait une solution. De ce que j’entendais, elles étaient devant et elles attendait que je sorte. Elles savaient. Elles savaient que j’étais dedans. Une seule pièce dans cette maison. J’allais devoir faire vite. La table, une barricade. Dans le coin opposé à l’entrée. Arbalète chargé, les carreaux restants plaqué contre ma cuisse droite par un morceau de toile. Je pris une chaise. Je la mis devant l’ouverture. Deux carreaux. Elles m’attendaient. Les salopes. Je sentis un peu d’air dans ma nuque. Un trou, assez gros pour laisser passer un carreau en ayant visé, évidement, l’épaisseur de la pierre ne me laissais pas grand angle de vue et grande marge de manoeuvre.
« On va la crever la salope. »
Pas si je t’ai avant ma chérie, vas y juste un pas. Un pas. Un seul petit pas. Et.. Clic. Mon carreau dans ta gueule. Sale chienne. Moins une. La seconde va se méfier, elle a fait le tour de la maison. Elle va faire des rondes. Du moins, elle ne se montrera plus devant la maison. Elle sera a l’affut pour me tirer dessus dès que je sortirai.
Trois jours. Six jours. Six jours c’est le temps que j’ai pu avoir à l’intérieur pendant qu’elle postait devant pour que je sorte. Le soif. La faim. L’odeur des excréments à la chaleur. Tant de choses qui ont fait que j’ai dû sortir. Oh non je n’ai pas été assez bête pour sortir par la porte et me donner en proie. Je suis sorti par en haut, la charpente était délabrée mais entre prendre le risque de sortir par le toit et que tout s’effondre et sortir pour être tirée comme une lapine, mon choix fut vite pris. J’ai été délicate, très délicate, j’avais attaché les hachettes a mes cuisses. Je me suis retrouvé accroupie sur le bord du mur.
Elle n’était pas là, impossible de la voir. Alors je e suis relevée. Au pied du mur. Elle était au pied du mur. A nous deux. J’ai sautée au dessus d’elle. J’ai hurlé. J’ai sorti mes hachettes et je les ai planté dans son sale crâne. Il a fais un son magnifique. Un craquement putride et dégueulasse. J’avais soif alors j’ai pris sa course couverte de sang et je l’ai bu d’une traite. Le goût du sang lui donnait un air consistant. Peu importe, j’ai laissé les cadavres derrière moi.
La seule chose dont je me souviens ensuite, c’est de m’être réveillée dans un lit immense. Avec des draps de soie. j’étais une princesse. Sa princesse. La seule et l’unique. Papa était le grand inquisiteur en France. Et moi, j’étais sa princesse. Une princesse magnifique que tous les grands de ce monde adoraient. J’étais rentrée au couvent à 12 ans, je voyais papa régulièrement, il prenait soin de moi. Seulement il a tous gâché..
Le jour de mes 26 ans, j’ai découvert un carnet. Je n’avais jamais pris conscience de tout ça. Mais en revenant au manoir, j’avais fouillé une pièce que je ne connaissais pas.. Je suis à la fois contente de l’avoir fait et je me dis que je n’aurai jamais du lire ce que j’ai lu. Jamais savoir. J’avais trouvé un carnet de cuir noir, fermé par un lien. Il était aussi décrit les entrainements et tortures qu’il nous faisait subir jour après jour. J’étais faible et j’allais me faire déchiqueter et gober par mes charmantes soeurs. Mais.. Peu importe.
Ma mère, il avait tué ma mère quand elle avait eu fini de nous allaiter. Il l’avait torturée. Sauvagement assassinée. Et avait jeté le corps dans une marre de boue. Dans un enclos à cochon. Rien de mieux pour se débarrasser d’un mort. Je suis sorti de la pièce, je me suis plantée devant lui. Il m’a regardé. J’ai levé le carnet. Il a ouvert la bouche et j’ai enfoncé mes ongles dans sa gorge. Le sang c’est mis à couler. L’adrénaline décuple les forces. J’ai arraché sa trachée. Et j’ai fais disparaitre le corps. Je l’ai fais disparaitre comme il l’a fait pour maman. Mangé.
La suite vous la connaissez..
Dernière édition par Tempérance Murdorn le Ven 23 Mai - 11:57, édité 4 fois |
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Samaël de Frénilly Messages : 200 Date de mort : 22/03/2014
| Sujet: Re: ♠ I'm a trap baby.. ♠ Mar 13 Mai - 5:30 | |
| Bienvenuuuuue :birl: Très bon choix d'avatar, on ne la voit presque jamais Hâte de voir ce que tu vas faire d'elle |
| | | Tempérance Murdorn Messages : 24 Date de mort : 13/05/2014
| Sujet: Re: ♠ I'm a trap baby.. ♠ Mar 13 Mai - 5:40 | |
| Merci. Je sais, c'est pour ça que je l'ai prise; ;) Un petit perso' bien sympa.. Ou pas! ;) |
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Bastian W. Keegan Messages : 158 Date de mort : 22/03/2014
| Sujet: Re: ♠ I'm a trap baby.. ♠ Mar 13 Mai - 8:18 | |
| Et bah quel choix d'avatar, je plussoie Courage pour la fiche |
| | | Tempérance Murdorn Messages : 24 Date de mort : 13/05/2014
| Sujet: Re: ♠ I'm a trap baby.. ♠ Mar 13 Mai - 21:07 | |
| Merciiiii Ca devrai aller vite normalement. ;) J'aime utiliser cet avatar parce qu'il est très peu joué et qu'il y a moyen de faire pas mal de choses avec!!!!! |
| | | J. Camillia de Romblay Messages : 13 Date de mort : 27/04/2014
| Sujet: Re: ♠ I'm a trap baby.. ♠ Mer 14 Mai - 9:11 | |
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| | | Tempérance Murdorn Messages : 24 Date de mort : 13/05/2014
| Sujet: Re: ♠ I'm a trap baby.. ♠ Jeu 15 Mai - 8:33 | |
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Nymphéa B. Rhodes Messages : 155 Date de mort : 04/04/2014
| Sujet: Re: ♠ I'm a trap baby.. ♠ Jeu 15 Mai - 21:45 | |
| Bienvenue parmi nous ! |
| | | Tempérance Murdorn Messages : 24 Date de mort : 13/05/2014
| Sujet: Re: ♠ I'm a trap baby.. ♠ Ven 16 Mai - 2:22 | |
| Merci! |
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Samaël de Frénilly Messages : 200 Date de mort : 22/03/2014
| Sujet: Re: ♠ I'm a trap baby.. ♠ Dim 25 Mai - 7:14 | |
| Et bien ça c'est de l'histoire ! en tout cas, j'aime beaucoup ** juste, avant de te valider, pourrais-tu s'il te plait mettre un avatar de 200x320 ? Sinon ça déforme un peu comme tu vois ! :) |
| | | Tempérance Murdorn Messages : 24 Date de mort : 13/05/2014
| Sujet: Re: ♠ I'm a trap baby.. ♠ Dim 25 Mai - 8:16 | |
| je l'ai retaillé mais il s'est loupé dsl, je le retaille de ce pas. ;) |
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Samaël de Frénilly Messages : 200 Date de mort : 22/03/2014
| Sujet: Re: ♠ I'm a trap baby.. ♠ Dim 25 Mai - 21:33 | |
| Et bien c'est parfait Il est des nooootres FELICITATIOOOON Tu es validé(e) dans la magnifique communauté de UWA. Tu peux dès lors aller poster dans le flood, dans les jeux, dans les fiches des liens des autres, faire des Rps, et tout ce qui va avec, car t'es un trop cool de la mort. Si tu te sens sans amis (prends un curly), tu peux aller faire ta fiche de liens. Nous t'invitons même à offrir un toit à ton personnage, si c'est pas la classe. Finalement, tu peux aussi te créer plusieurs scénarios pour faire vivre ton personnage! J'pense que c'est tout. Ah si, HAVE FUN, c'est le plus important mon petit |
| | | | Sujet: Re: ♠ I'm a trap baby.. ♠ | |
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